Spoiler : les années 60, c'était pas juste des hippies et des chansons planantes ! C'était la décennie où les femmes ont pris la mode par les cornes, bousculant les règles bien pépères pour s'émanciper. On parle pas de changer de couleur de rouge à lèvres, mais bien de révolutionner la face du prêt-à-porter.
Imaginez-vous, les icônes de la mode comme Brigitte Bardot, Catherine Deneuve, Françoise Hardy et Twiggy qui deviennent les héroïnes d'une histoire où la mini-jupe, les collants et le tailleur-pantalon règnent en maîtres. On parle pas de longueurs à la papa, mais de trucs qui flirtent avec les genoux et mi-cuisses, à faire tourner la tête de tout le voisinage.
Les best stylistes : Saint Laurent, Courrèges, Mary Quant, Paco Rabanne, et Pierre Cardin ont débarqué comme des héros de comics pour libérer la femme des griffes des fringues trop coincées. Exit les hauts talons aiguilles, bonjour les bottines mi-mollets, bien sûr, blanches comme neige.
Dans cette folie vestimentaire, la mini-jupe est la star, mais qui l'a vraiment inventée ? Mary Quant ou André Courrèges ? On sait pas, et on s'en moque un peu, tant que c'était là pour nous faire kiffer.
La révolution, c'est pas juste dans les fringues, c'est aussi dans la tête. Les femmes ont balancé au placard bas et porte-jarretelles, adoptant la praticité sexy des collants. Et hop, la mode devient un mélange de provoc' assumée, de pratique et de confort, suivant le mouvement de libération qui a commencé avec Mademoiselle Chanel et son esprit "garçonne".
Côté accessoires, on dit bye-bye à la discrétion et bonjour à l'extravagance XXL. Les lunettes de Cardin deviennent des œuvres d'art, les bijoux minimalistes explosent en taille et s'acoquinent volontiers avec du plastique. Les chaussures ? Talons carrés et bottines souples mi-mollets, blanches bien sûr, la totale !
Pour résumer : les femmes des sixties, elles avaient leur propre langage vestimentaire, avec des coupes mini, des matières rigides qui bougent pas d'un poil, des couleurs pop qui font péter la rétine, et des accessoires XXL en plastique. Sans oublier les lunettes de l'espace, les chaussures à talons carrés, et les mini-sacs flashy, suspendus à des anses courtes.
Bref, les années 60, c'était le grand saut dans l'inconnu, où les femmes ont tout osé, tout exploré, tout changé. Alors merci les sixties, t'as fait de nous des femmes géométriques, avec taille et poitrine en mode camouflage, mais les jambes, ah ça, elles étaient bien dévoilées !
« Le bon goût est mort, la vulgarité c’est tout ce qui compte », merci Mary Quant !